"Ce que nous proposons est, à mon avis, la 'solution miracle' en matière de traitement de l'eau. - Ultramins


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"Ce que nous offrons est, à mon avis, la 'solution miracle' en matière de traitement de l'eau.

La stratégie de croissance internationale de Ultramins :

Tholen - Malgré une croissance internationale substantielle - Ultramins fournit désormais des émetteurs ultrasoniques cavitants USAF™ dans plus de 50 pays - il y a encore "beaucoup à gagner". C'est ce qu'affirme Robert de Hoo, directeur et propriétaire de l'entreprise. Et s'il s'est également rendu dans ces 50 pays ? "Heureusement non, cela ferait beaucoup en moins de quatre ans", dit-il en riant, même s'il sera de nouveau au Canada au début du mois d'octobre.
La première commande internationale est également venue du Canada, de l'Ontario. Lorsqu'il s'est lancé dans l'horticulture, le commerce international a toujours été une de ses ambitions. "J'ai cherché moi-même les plus grandes régions horticoles du monde, j'ai discuté avec les producteurs et je me suis rendu à des foires commerciales. Nous nous sommes également fait connaître dans les médias spécialisés. Aujourd'hui, chaque producteur que nous fournissons nous permet d'entrer en contact avec un nouveau producteur. Le fait qu'en moins de quatre ans, nous ayons approvisionné plus de 50 pays est absolument fantastique. Même si nous n'avons qu'un ou deux clients dans certains pays. En outre, depuis environ un an, nous avons un partenariat avec Houweling HortiCulture et Houweling Americas, ce qui nous donne plus de poids, principalement en raison de leur présence locale."

L'innovation

Au niveau international, le Ultramins fait donc de bonnes affaires. De plus en plus de cultivateurs néerlandais l'adoptent également. Pourtant, Robert est frappé par le fait que l'adaptation de la technologie, qui est nouvelle pour les cultivateurs, n'est pas aussi rapide qu'il l'avait d'abord pensé. "Les Pays-Bas restent l'un des marchés les plus difficiles pour nous. C'est un marché qui est loué au niveau international pour son innovation, et c'est le cas. Cependant, je constate que pour notre technologie, l'adaptation est beaucoup plus rapide au Canada et aux États-Unis, bien que toutes les grandes coopératives de légumes de serre aux Pays-Bas et en Belgique comptent désormais plusieurs producteurs qui ont déployé nos solutions avec une grande satisfaction."

Grâce aux transmetteurs ultrasoniques à cavitation de l'USAF, les cultivateurs du monde entier, du Koweït au Kazakhstan et de l'Australie au Mexique, gardent leur eau propre. "Les cultivateurs constatent que ce système fonctionne vraiment très bien. Sans grands efforts, ils gardent leur eau exempte de bactéries, de champignons et de virus".

Adopteurs précoces

À la recherche d'un moyen d'empêcher le ToBRFV de se répandre dans leur eau, les premiers cultivateurs néerlandais se sont tournés vers le Ultramins. "Pour ce faire, nous avons effectué un test réussi dans le jardin d'essai de Ron Peters à l'époque. Depuis lors, un certain nombre de producteurs de tomates utilisent nos émetteurs à leur entière satisfaction. En outre, certains producteurs de concombres affirment haut et fort que l'installation des émetteurs a minimisé, voire éliminé, leurs problèmes de virus.

Le fusarium, un problème persistant

Au niveau international, Robert constate que le fusarium, entre autres, est également un problème auquel les producteurs sont confrontés. "Le fusarium fait également partie des micro-organismes qui sont tués par la cavitation, comme la plupart des agents pathogènes, ce qui signifie que nous pouvons également aider ces cultivateurs. Cela nous donne beaucoup de satisfaction. Car si vous suspendez des ficelles sur 10 hectares et qu'au bout de deux mois, vous pouvez commencer à arracher toutes les plantes, y compris les ficelles, de la serre, c'est terrible à tous points de vue".

Autour d'une visite à la Canadian Greenhouse Conference, Robert et son collègue Glenn rendront à nouveau visite à de nombreux cultivateurs. "Nous travaillons encore beaucoup avec les premiers utilisateurs. Notre produit est de plus en plus connu, mais il y a encore beaucoup à gagner."

Cela s'explique en partie par le fait que les producteurs ont été initiés à d'autres produits par le passé, qui se sont avérés inefficaces, note-t-il. Il existe également des émetteurs ultrasoniques "ordinaires". Avec eux, on ne tue pas les virus, les bactéries et les champignons. C'est pourquoi nous insistons à chaque fois sur le fait que c'est la cavitation qui fait la différence".

Présence locale

Pour se développer, Ultramins recherche des partenaires locaux. Sur certains marchés, ceux-ci ont déjà été trouvés. Malgré l'aide des distributeurs, Robert choisit toujours de rendre régulièrement visite à son équipe. "Nous le faisons pour savoir ce qui se passe. En outre, une présence locale crée un climat de confiance. En outre, nous constatons que de nombreux producteurs commencent par les bassins et, une fois que les résultats sont bons, nous demandent de traiter également les silos et les drains."

Le déplacement n'est pas nécessaire pour l'installation du produit. "Nous ne parlons pas d'installation mais de placement. En effet, le cultivateur peut toujours le faire lui-même. Pour un silo, cela prend 15 minutes. Un bassin plus grand avec plusieurs émetteurs prend un peu plus de temps, mais ce n'est pas difficile. Même moi, je peux le faire", s'amuse le Néerlandais.

"Le grand avantage est qu'il n'est pas nécessaire de modifier les systèmes d'irrigation existants. Il suffit de placer les émetteurs dans les bassins, les silos ou les puits souterrains existants. Avec l'installation d'un seul émetteur, les systèmes UV existants ont tendance à mieux fonctionner parce que l'eau devient plus claire et contient moins de matières organiques. Les machines d'ultrafiltration peuvent également en bénéficier car les membranes nécessitent moins de rinçage".

Rapports positifs

Après le placement, la règle est la suivante : 30 jours sans résultat, remboursé. "Pour nous, la question n'est plus de savoir si cela fonctionne. Nous avons tellement testé et nous avons tellement d'expérience pratique que nous pouvons offrir ce service. De plus, des clients nous disent qu'ils ont parfois récupéré leur investissement dans les six mois. Notre produit fonctionne rapidement après son installation. Les producteurs constatent que les virus, par exemple, diminuent rapidement. C'est particulièrement vrai pour les concombres.

Bien qu'il dispose désormais de l'expérience internationale nécessaire en matière d'horticulture, Robert "continue d'apprendre tous les jours". "Ce qui me plaît, c'est de recevoir des rapports de cultivateurs qui ont d'abord eu beaucoup de mal, mais dont l'eau est maintenant bonne. Ces cultivateurs voient leurs rendements augmenter à nouveau. Notre objectif est d'éclairer les producteurs. Les agriculteurs ont déjà beaucoup de travail. Je l'ai constaté ces dernières années. S'ils peuvent exclure l'eau d'irrigation comme cause, ils ont l'esprit tranquille et peuvent se concentrer sur d'autres choses. Car un problème peut avoir des causes multiples.

Situation de luxe

Au cours des prochaines années, Ultramins s'attend à une croissance rapide. De nombreux investissements ont été réalisés pour faire connaître le produit. Par exemple, l'équipe est passée à environ 7 ETP, il existe un centre d'appel externe avec lequel Ultramins travaille pour prendre des rendez-vous avec les consultants, et Robert cherche également à s'adjoindre des experts dans le domaine du marketing et de la communication pour développer son activité.

La croissance de l'entreprise se fait toujours à partir de la Hollande-Septentrionale. En sera-t-il toujours ainsi ? "Oui, nous sommes présents localement, mais nous n'allons pas nous y installer de sitôt. Sur le plan numérique, nous pouvons également très bien soutenir nos clients." Et ne craint-il pas de croître trop vite, alors que l'eau semble devenir de plus en plus importante pour l'horticulture internationale ? "J'espère que nous continuerons à bien nous développer et que les situations de luxe pourront toujours être financées.

Croissance en dehors de l'horticulture

L'entreprise spécialisée dans les technologies de l'eau ne se développe d'ailleurs pas uniquement dans l'horticulture. Les transmetteurs ultrasoniques à cavitation de l'USAF peuvent également être utilisés dans d'autres secteurs où la qualité de l'eau est importante, comme la pisciculture et la conchyliculture. Avec l'aide d'Eric van Velzen, responsable du développement commercial, Ultramins explore de nouveaux marchés.

Des marchés sur lesquels l'entreprise apprend également de nouvelles choses. "Dans l'horticulture, les producteurs travaillent souvent en dosant une petite quantité de peroxyde d'hydrogène ou d'un autre produit en plus de nos émetteurs. Les producteurs vont de toute façon économiser sur l'utilisation d'additifs en utilisant les transmetteurs ultrasoniques à cavitation de l'USAF".

Dans le domaine de l'horticulture, quelques-uns travaillent déjà sans aucun additif, observe Robert. "Avec des réglementations de plus en plus strictes dans le monde entier, la demande de solutions plus durables augmente. Notre objectif en tant qu'entreprise est d'y contribuer également, car l'utilisation de produits chimiques devra être de plus en plus limitée."

Dans les élevages de poissons et de crustacés, aucun additif chimique n'est utilisé dans la solution de Ultramins. "Actuellement, des tests approfondis sont en cours avec l'utilisation de nos émetteurs dans une ferme d'élevage de crevettes en Asie du Sud-Est. Les premiers tests semblent également très encourageants. Dans l'ensemble, je pense que ce que nous offrons est vraiment une solution miracle pour de nombreux marchés où le stockage de l'eau est problématique. "*

*une balle d'argent est quelque chose qui résout un problème grave très rapidement et facilement

 

Lien vers l'article original :

https://www.groentennieuws.nl/article/9665739/wat-wij-bieden-is-in-mijn-ogen-the-silver-bullet-in-waterzuivering/